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HELLO &
BIENVENUE !
Tu rêves de retrouver ton énergie, d’alléger ton mental et de te sentir enfin alignée…
Mais ton cerveau, lui, a décidé de jouer sa propre partition.
Tu débordes d’idées, mais tu n’arrives jamais à tout concrétiser.
Tu veux te poser, mais ton esprit s’emballe.
Tu veux avancer, mais tu ne sais plus dans quelle direction.
Et tu finis par t’épuiser à force de vouloir “faire comme tout le monde”.
Je te comprends mieux que tu ne peux l’imaginer.
Parce que moi aussi, j’ai vécu ce chaos invisible.
Hello !
Moi, c'est Jenni !
Depuis toute petite, j’ai eu la sensation de ne pas rentrer dans les cases.
J’étais cette enfant un peu dans la lune, rêveuse, curieuse, créative —
celle qu’on trouve bizarre.
À l’école, j’étais le vilain petit canard.
Celle qui dessinait sur ses cahiers pour réussir à se concentrer, mais qu’on punissait parce qu’on croyait qu’elle n’écoutait pas.
Celle qu’on moquait parce qu’elle oubliait toujours quelque chose : son livre, sa trousse… ou ses chaussures (oui, il m’est arrivé d’aller à l’école en pantoufles 🙃).
Je me souviens des rires, des humiliations, de cette maîtresse qui lisait mes erreurs devant toute la classe.
Chaque mot me brûlait le cœur.
Et moi, je me disais :
"Pourquoi je n’y arrive pas comme les autres ?"
Et à la maison, c’était pareil.
Quand mon père me faisait réviser, chaque faute valait une gifle.
Et chaque gifle murmurait la même phrase :
“Tu es nulle. Tu n’as pas de cerveau.”
Alors, j’ai fini par le croire.
LES BLESSURES INVISIBLES
J’ai grandi avec ce sentiment d’être “trop” ou “pas assez”.
Trop émotive.
Trop intense.
Pas assez disciplinée.
Pas assez concentrée.
Je fournissais des efforts titanesques… mais mes résultats étaient passables.
Sauf dans quelques domaines : l’art, le sport, la créativité.
Des espaces où mon cerveau pouvait enfin s’exprimer librement.
Mais la vie, elle, ne semblait pas vouloir de ce genre de cerveau.
Alors, j'ai fait ce que font beaucoup de femmes atypiques :
j’ai mis un masque.
J’ai appris à surcompenser, à surtravailler, à suradapter.
Je voulais prouver que j’étais capable.
À n’importe quel prix.
LA SURADAPTATION
À l’adolescence, j’ai commencé à bosser à côté des cours.
Je faisais mes journées au lycée, mes soirées chez McDo, mes nuits sur mes devoirs.
Et ce schéma, je l’ai répété pendant des années :
beaucoup de travail, peu de sommeil, zéro pause.
J’étais dans le faire, le performer, le prouver.
Mais à l’intérieur, je m’effritais.
J’ai cherché des échappatoires : la nourriture, le contrôle, les régimes, le sport à outrance.
Je suis passée par la boulimie, l’hyperphagie, puis l’anorexie mentale.
Le “mode de vie sain” est devenu une obsession.
Et quand je n’avais plus la force de contrôler, je fuyais dans d’autres excès : alcool, fêtes, hyperactivité permanente.
Je cherchais désespérément un équilibre… que je perdais chaque fois un peu plus.
LA CHUTE
Puis est venu le moment où mon corps a dit stop.
Fatigue écrasante. Brouillard mental.
Plus envie de rien. Plus de sens.
Je me suis effondrée, vidée, épuisée d’essayer d’être quelqu’un que je n’étais pas.
J’avais tout essayé : régimes, routines, développement personnel, méditation, livres, formations…
Rien ne tenait.
Chaque “solution miracle” finissait par me replonger dans le chaos.
Je me disais : “Il y a quelque chose qui cloche chez moi.”
Mais je ne savais pas quoi.
Je ne dis pas tout ça pour “faire du drama”.
Je le dis parce que c’est la réalité silencieuse de milliers de femmes comme moi — et peut-être de toi aussi.
Celles qui ont grandi en pensant qu’elles étaient “trop” ou “pas assez”,
alors qu’elles étaient simplement différentes.
LA RÉVÉLATION
LA PIÈCE MANQUANTE DU PUZZLE
À l’adolescence, j’ai commencé à bosser à côté des cours.
Je faisais mes journées au lycée, mes soirées chez McDo, mes nuits sur mes devoirs.
Et ce schéma, je l’ai répété pendant des années :
beaucoup de travail, peu de sommeil, zéro pause.
J’étais dans le faire, le performer, le prouver.
Mais à l’intérieur, je m’effritais.
Mon médecin pensait d’abord à une cyclothymie, tant mes humeurs et mon énergie faisaient les montagnes russes.
Mais plus on creusait, plus tout devenait clair.
Mon hypersensibilité,
Ma dispersion,
Mes montagnes russes émotionnelles,
Mes addictions,
Ma créativité débordante, mais difficile à canaliser,
Mes réussites éclatantes suivies de grands effondrements.
C'est un TDAH.
Un cerveau bouillonnant, curieux, hypersensible, créatif…
Mais câblé différemment, et mal compris.
Tout s'est emboité !
J’ai pleuré. De soulagement, surtout. Parce que, pour la première fois de ma vie, je me comprenais.
Elle m’a envoyé vers le CPM avec une lettre de recommandation.
Et j’ai “de la chance” : deux mois d’attente.
Deux mois pour comprendre, observer, digérer.
Mais je me suis dit :
“Et pour toutes celles qui attendent un an, deux ans… on fait quoi en attendant ?”
C’est là que j’ai compris que le diagnostic ne suffisait pas.
Qu’on pouvait commencer à se reconstruire, même sans attendre.
Et que 30 % du TDAH, c’était de la neurologie…
Mais les 70 % restants, c’était notre mode de vie.
Et sur ces 70 %, on pouvait agir.
LA MÉTAMORPHOSE
DU CHAOS AU SENS
Alors, j’ai décidé de reprendre les rênes.
J’apprends à m’écouter, à structurer sans me contraindre, à ralentir sans culpabiliser.
Je cesse de me battre contre mon cerveau.
J’apprends à danser avec lui.
Petit à petit, un pas à la fois, doucement, mais sûrement.
Mon alimentation, mon sommeil, mon environnement, mes émotions, ma psychologie... Tout y passe !
C’est à ce moment-là que tout ce que j’ai appris prends, toutes les certifications que j'ai passées prennent tout leur sens.
Je me suis formée à la naturopathie, à la micronutrition, à la psychologie, à la méthode KNAP, et à différentes approches corps-esprit.
Mais ma plus grande école reste la vie.
Mes échecs, mes chutes, mes renaissances, mes prises de conscience.
Tout cela m’a appris ce qu’aucun diplôme ne peut enseigner : l’art de se relever, encore et encore.
On ne guérit pas d’être TDAH.
Mais on peut apprendre à vivre en harmonie avec soi.
MES CERTIFICATIONS
MA MISSION AUJOURD'HUI
Aujourd’hui, j’unis la science et l’intuition, la structure et la douceur, la neurocompréhension et la bienveillance, pour guider les femmes atypiques — celles dont le mental fuse, dont les émotions débordent, dont l’énergie s’effondre sans prévenir — à mieux-vivre avec leur TDAH.
Ce que je transmets aujourd’hui ne vient pas seulement des livres,
mais du vécu, des chutes, des renaissances et des apprentissages du cœur.
Mon objectif n’est pas de te “corriger”.
Mais de t’aider à te comprendre, te réguler, t’apaiser, t’aimer.
Parce que tu n’as pas besoin de changer de cerveau.
Tu as juste besoin d'un mode de vie qui soutienne ton fonctionnement unique.
Et c'est exactement ce que je t'aide à créer à travers :
Une approche holistique,
Des outils concrets,
Une communauté bienveillante,
Et un accompagnement qui respecte ton rythme.
Parce qu’au fond, tu n’as jamais été “trop” ou "pas assez".
Tu as juste essayé de t’adapter à un monde qui n’a jamais été conçu pour ton intensité.
Et c’est justement cette intensité, cette curiosité, cette créativité bouillonnante, que j’ai à cœur de t’aider à canaliser.
Ta différence est une force !
Elle n'a besoin que d'un cadre doux et adapté pour s'épanouir.
ET SI ON FAISAIT LE POINT ENSEMBLE ?
Si tu te reconnais dans mon histoire...
Si tu ressens ce tiraillement entre fatigue et espoir...
Si tu veux avancer sans t’épuiser…
Je t’invite à réserver ton Rendez-vous Clarté de 30 minutes 🌙
C’est un moment rien que pour toi.
Un espace pour faire le point, déposer ton chaos, et découvrir quel est ton prochain pas vers une vie plus douce, plus fluide, plus alignée.
Ce n’est pas un coaching, c’est une rencontre.
Une boussole pour ton cerveau atypique.
Une bulle de clarté pour reprendre ton souffle et y voir plus clair.
J’ai passé ma vie à croire que j’étais le problème.
Aujourd’hui, je sais que je ne l’étais pas.
Et je suis là pour te le rappeler à toi aussi !
Tu n’as pas besoin de changer de cerveau.
Tu as juste besoin d’un mode de vie qui respecte le tien.
Et si ton histoire pouvait, elle aussi, devenir une renaissance ?
